°Préparation de la création « La misère du monde » – Cie*
°76e biennale d’art contemporain au MBAC

« Dans le travail d’Orélie, les murs puis le sol parlent, l’air se salue, le paysage est d’argile mais le champ de colza est poussière jaune, un aspirateur est un chien, le parquet un être auquel prendre soin. Les regards disent, les paroles regardent. » Caroline Bourrit
