« Dans le travail d’Orélie, les murs puis le sol parlent, l’air se salue, le paysage est d’argile mais le champ de colza est poussière jaune, un aspirateur est un chien, le parquet un être auquel prendre soin. Les regards disent, les paroles regardent. La réalité et l’imaginaire se touchent comme l’extérieur et l’intérieur. Orélie nous amène sur un seuil. Sur cette ligne, en équilibre, il y a le jeu. Le jeu d’enfant, le jeu sérieux. Une curiosité avide, une admiration pour l’accord. » Caroline Bourrit
